C'est en lisant "Quai d'Orsay" de Christophe Blain et Abel Lanzac que j'ai lu pour la première fois l'expression "guerre préventive" [ben oui...].
Depuis, j'ai creusé, compris des trucs là, là et ailleurs.
Mais la première idée qui m'est venue en découvrant cette expression, c'est un souvenir du match RC Luxembourg-Stuttgart que nous avons vu en novembre.
L'équipe du RC Luxembourg est assez cosmopolite. Gabitxu/Petit neveu connait quelques uns des joueurs, pour partager des séances de muscu avec eux. Il nous parlait avec insistance d'un joueur français, surnommé "le breton" à qui il arrivait toujours des trucs sur le terrain. En fait, qui ne jouait jamais très longtemps , abonné qu'il était aux cartons rouges. "Le breton" est entré en jeu en deuxième mi-temps [pilier]. Et, disons deux minutes après, grosse baston sur le terrain, "le breton" se prend un carton et sort. Gabitxu était aux anges, "le breton" n'avait pas failli à sa réputation.
A la fin du match, il est allé le voir et lui a demandé ce qui s'était passé. Réponse : "Y en a un, j'ai cru qu'il allait me mettre une mandale, alors j'ai préféré lui en mettre une d'abord".
Voilà, la première image qui m'est venue pour illustrer cette "guerre préventive". Celle-là n'a pas les mêmes conséquences [!] mais relève à peu près des mêmes raisonnements tordus...