Difficile de ne pas être [très] touché par le documentaire diffusé dimanche dernier, 23 mars, lors de Stade 2. Documentaire qui évoque le sort de quelques joueurs Springboks*, atteints de maladies neurodégénératives diverses et variées, qui statistiquement n'auraient jamais dû se concentrer autant sur un si petit groupe, les finalistes de la coupe du monde de rugby en 1995...
J'ai aussitôt repensé à un article, trouvé il y a déjà quelque temps, et archivé dans mes brouillons. Un article qui évoque la disparition, en 2013, d'un autre acteur de cette finale de 1995... Louis Luyt**, le président de la fédération sud-africaine de rugby de cette époque. Personnage qui n'est pas évoqué dans le documentaire, et qui pourtant, a forcément joué un rôle dans l'histoire de ces joueurs, condamnés à une vie écourtée et alourdie d'un handicap si particulier...
Cet article est lààà.
Les auteurs de ce blog, "Onion Rings"***, au chouette graphisme, sont deux femmes. Elles ont commencé à écrire pour Londres 2012, ont continué...et ont écrit sur le sport, en dehors des Jeux de Londres.
[Tous leurs écrits sur le rugby sont ICI]
***
* Sort connu depuis quelques années, que je découvre, contrairement à Glop Ovale qui avait percuté à ce moment-là...
** Disparition évoquée là, làà. Et un petit texte, du Guardian, publié en 2003 et écrit en 1995 [?]
*** "La recette de ces « Onion Rings », du nom, Londres oblige, de cette spécialité culinaire britannique – des rondelles d’oignons frites – rappelant les anneaux olympiques, c’est une bonne dose d’humour et de dérision, une touche de poésie. Un amour du sport pour tout ce qu’il représente, et pas seulement la compétition."